Dimanche matin, les aulnaysiens étaient rassemblés place de l’Herminier pour rendre hommage aux victimes de la déportation. C’est avec sobriété et émotion que le maire d’Aulnay-sous-Bois, accompagné de sa première adjointe, ont tenus à transmettre un message pour que vive la mémoire entre toutes les générations.
Ce dimanche matin, de nombreux aulnaysiens se sont rassemblés place de l’Herminier pour rendre hommage aux victimes de la déportation, période sombre de l’Histoire de l’humanité fêtant son 69ème anniversaire cette année. Une cérémonie du souvenir qui s’est déroulée sous un ciel gris parsemé d’infimes éclaircies. Tour à tour avec sobriété et émotion, le maire (UMP) d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza et sa première adjointe (UMP) Séverine Maroun, ont tenus à transmettre le message pour que vive la mémoire parmi les générations. En effet, c’est un véritable devoir de mémoire qui a été exercé ce dimanche devant une jeune génération représentée sur place par trois adolescents. Et ce afin que le passé ne soit jamais oublié. En tout ce sont trois gerbes de fleurs qui ont été déposées par les anciens combattants, le conseiller général (UDI) Jacques Chaussat, le Maire et sa première adjointe mais aussi avec l’aide des jeunes citoyens du futur. Durant cet hommage au passé, l’absence du député (PS) Daniel Goldberg fut remarquée. Une absence dans un moment aussi solennel qui aura été accompagnée par la non présence des principales têtes de l’opposition municipale telles que Gérard Ségura (PS), Ahmed Laouedj (PRG) et Miguel Hernandez (PCF). Un vide qui aura permis de mettre dans la lumière la venue de quelques adjoints de la précédente mandature municipale: Aline Benhamou qui étaient en charge des anciens combattants, Martine Pellier et Philippe Gente.