Ce soir, à partir de 20h00, se tiendra une nouvelle séance du conseil municipal d’Aulnay-sous-Bois. Comme tous les mois, sur convocation du maire, les 53 conseillers municipaux seront invités à se prononcer sur l’ordre du jour particulièrement bien chargé.
Catégorie : Conseil municipal
Ce mercredi, le conseil municipal d’Aulnay-sous-Bois se réunira à partir de 20h00 pour une nouvelle séance ordinaire. Les 53 conseillers municipaux, qui entrent dans leur seconde année de mandat, seront soumis ce soir au vote de plusieurs délibérations. On notera la présence dans l’ordre du jour de deux voeux: l’un sera relatif à une aide financière au Népal demandé par les élus communistes notamment, tandis que le second vise à montrer l’intérêt de la ville pour accueillir des infrastructures des Jeux Olympiques de 2024 sur le site PSA.
Les documents du conseil sont disponibles sur le site de la ville, tout comme la séance qui sera ce soir retransmise en direct sur ce dernier. Vous pouvez également la suivre sur notre site, en direct vidéo et en live-tweet avec le hashtag #CMAulnay !
DOCUMENT 93600INFOS.fr – Début Avril, le conseil municipal d’Aulnay-sous-Bois a voté le budget 2015. Face à d’importantes baisses des recettes, notamment liées à une forte diminution des dotations de l’Etat, l’équipe municipale est contrainte de diminuer ses dépenses. Cependant, trois grandes priorités sont affirmées par une municipalité qui se résigne à ne pas augmenter les impôts.
Bruno Beschizza, maire d’Aulnay-sous-Bois, était ce matin sur RMC pour dénoncer la stigmatisation médiatique de la ville suite à l’attentat déjoué de Villejuif. Depuis quelques jours, l’enquête qui tente de cerner le profil du présumé terroriste mène à Aulnay-sous-Bois, ville dans laquelle Sid Ahmed Ghlam se serait procuré des armes. Pour le maire, il n’y aura « pas de lutte efficace contre le jihadisme sans lutte contre la drogue » rappelant que « ce n’est pas la police mais la justice qui ne passe plus dans nos territoires ».
Dans un communiqué transmis cet après-midi à la presse, le Maire (UMP) d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza « se félicite que le Conseil de Paris ait approuvé la présentation de la candidature de Paris aux Jeux olympiques de 2024. » Selon le premier magistrat de la ville, « cette aventure est une chance pour la Seine-Saint-Denis et Aulnay-sous-Bois en particulier », rappelant les atouts de la commune pour accueillir des infrastructures d’un tel événement d’envergure internationale: « avec l’arrivée d’une gare du Grand Paris mais aussi avec le site PSA et ses 180 hectares à aménager, ses 3 autoroutes et ses 2 aéroports à proximité, Aulnay peut devenir un pilier dans l’organisation de ces JO. C’est une nouvelle façon de montrer que la Ville d’Aulnay-sous-Bois peut devenir un pôle d’attractivité dans le Nord-Est parisien » ajoute l’édile. « Le Grand Paris prend d’ailleurs à cette occasion tout son sens car c’est n’est qu’en travaillant ensemble que Paris et sa banlieue pourront faire vivre cette grande idée » conclut-il.
Paris et sa région se lancent dans l’aventure des JO de 2024
Le Conseil de Paris a approuvé lundi matin à une très large majorité l’engagement de la capitale dans une candidature pour l’organisation des jeux Olympiques et paralympiques 2024. « Nous voilà engagés dans l’aventure olympique » s’était satisfaite la maire (PS) de Paris Anne Hidalgo à la sortie de la réunion. C’est désormais à elle qu’il appartiendra de cosigner l’acte officiel de candidature avec le Comité national olympique (CNOSF). Cette annonce rappelle cependant que Paris a déjà trois rivales déclarées : Boston, Hambourg et Rome.
Si Bruno Beschizza a réagit à cette nouvelle dans un communiqué, c’est aussi pour rappeler les atouts de notre ville pour accueillir des infrastructures nécessaires à la bonne tenue de ces Jeux Olympiques. Si les 180 hectares du site de l’ancienne usine PSA furent un temps évoqués pour accueillir le village olympique, cette option semble de moins en moins avancée dans les médias. Pourtant situé aujourd’hui à quelques kilomètres de l’aéroport de Roissy et demain à une centaine de mètres de la future gare du Grand Paris, la friche industrielle abandonnée en 2014 par le groupe automobile semble se faire distancer par des villes comme Saint-Denis, La Courneuve ou encore Le Bourget, des communes dotées de gares RER et de stations de métro.