Ce week-end, l’affaire a éclaté au grand jour: les parents d’élèves de l’école Louis Aragon ont décidé de briser le silence et d’occuper l’école de leurs enfant hier en raison des récentes découvertes de leurs petits lors des récréations. Entre flacons de méthadone et couteaux, la coupe est pleine pour ses parents désemparés qui ne savent plus s’ils peuvent laisser leurs enfants en toute sécurité.
Catégorie : Sécurité
Voici un communiqué du maire relatif au décès d’un homme de 25 ans rue de Corse, dans le quartier de Balagny, hier soir pendant un contrôle de stupéfiants.
Hier en début de soirée, un homme de 25 ans est décédé d’un arrêt cardiaque Rue de Corse lors d’un contrôle de stupéfiants. Il se trouvait dans un hall d’immeuble comme une dizaine de personnes. Il a succombé à cet arrêt cardiaque malgré une tentative de réanimation sur l’Hôpital Robert Ballanger.
Selon les propos d’amis de la victime, recueillis par le Parquet de Bobigny, l’homme avait des problèmes cardiaques et avait même eu rendez-vous avec un cardiologue l’après-midi même. Toujours selon cette source, l’homme aurait pris du viagra alors que cela était fortement déconseillé dans son cas. Selon le Parquet de Bobigny, du cannabis aurait été retrouvé près de la victime et le contrôle de police s’est déroulé normalement.
Selon nos confrères d’Europe 1, la tension sur place était tendue cette nuit peu après minuit. Des feux ont été allumé sur la chaussée et ont été immédiatement éteints par les pompiers sur place. De nombreux policiers ont été déployés car dans ce quartier, comme dans d’autres endroits de la ville, les habitants doutent de la véracité de la version de la police. En effet, chacun a encore en mémoire la condamnation de 3 policiers en Novembre 2011 pour avoir mentis en couvrant une bavure.
Une autopsie va être pratiquée pour en savoir plus sur les causes exactes du décès. La parquet à ouvert une enquête.
[MAJ à 15h25]
Selon nos confrères du Figaro, la victime aurait absorbé du « viagra chinois ».
Voici le reportage fait par nos confrères de BFMTV:
Nous vous en parlions hier, un élève du Collège Le Parc a été frappé au visage hier matin devant son collège par un lycéen. Ce matin, nous sommes retournés sur les lieux à la demande de notre témoin dont le témoignage a été publié hier sur ce blog. Elle nous a déclaré ce matin avoir eu une discussion avec un ami proche de la victime hier soir. Selon ces informations, l’élève agressé serait absent du collège jusqu’à demain 8h [MAJ du 28/09/2011 à 15h13] Nous apprenons à l’instant que l’élève agressé à repris les cours ce matin et qu’il allait plutôt bien.
Nous en savons aussi un peu plus sur les raisons de l’incident d’hier matin. L’élève farrpé de 3 coup au visage se serait interposé peu de temps avant entre le lycéen et un autre collégien à ce moment là en pleine bagarre. Le lycéen aurait dit à l’élève qu’il a frappé « Toi, le petit à lunettes, casse-toi de là ! » et l’a ensuite frappé à 3 reprises au visage.
Nous apprenons cet après-midi qu’un élève du Collège Le Parc d’Aulnay a été frappé de 3 coups au visage ce matin devant son collège vers 9h20.
Nous apprenons cet après-midi qu’un élève du Collège Le Parc d’Aulnay a été frappé de 3 coups au visage ce matin devant son collège vers 9h20. L’incident c’est produit devant les annexes « Louis Solbes » et « Le Parc Centre » (voir plan de situation ci-contre).
L’incident nous est raconté par 1 élève témoin de l’incident, encore sous le choc. Sa version des faits que vous pouvez lire ci-dessous, est à quelques détails près la même que 2 autres élèves.
Voici son récit:
« Ce matin, vers 9h15, un de mes amis a été frappé 3 fois au visage juste devant le collège. A ce moment là, je venais tout juste d’arriver devant le collège, su le trottoir en face de celui où c’est produit l’agression [NDLR: voir plan de situation ci-contre]. Mon ami c’est mis d’un coup à pousser des cris horrible, semblable à ceux d’un cochon quand on l’égorge. Ensuite, il c’est mis a avancer vers l’annexe Le Parc Centre, où il a cours, pour demander secours. Il est ensuite immédiatement conduit par le Principal du collège, présent à ce moment sur l’annexe, vers l’infirmerie se trouvant sur l’annexe en face [NDLR: l’annexe Louis Solbes], la bouche et le nez en sang. Pendant ce temps là, l’agresseur, un lycéen d’environ 15 ou 16 ans a pris la fuite vers l’hôpital [NDLR: la Clinique d’Aulnay]. »
Nous avons ensuite posé la question nos témoins s’ils étaient au courant de la raison de cette agression mais aucun n’a su nous répondre.
Cet incident rappelle une fois de plus, que la sécurité n’existe quasiment pas autour des collèges, malgré la présence du commissariat à moins de 200 mètres du lieu de l’agression.